20 décembre 2010
déjà 6 mois que tu nous a quitté sans crier gare...
Les jours passent, la vie a repris son cours tant bien que mal mais tu es toujours aussi présent dans ma vie, le jour comme la nuit dans mes rêves.
La douleur de ton absence est toujours aussi poignante et angoissante aussi.
J'ai besoin de coucher sur ce papier toutes mes angoisses, mes doutes, ma peur de ma propre mort dont j'ai pris conscience depuis ta disparition.
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